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Définition des termes "préjugés" et "stéréotypes", débat et institutionnalisation dans cette séquence.
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Le 20 mai 1927, Charles Lindbergh s'envolait d'un aérodrome de New York dans la brume du matin. L'avion décolla lourdement, prit enfin de la hauteur et s'élança au-dessus de la mer. Vers le soir, un épais brouillard se forma et Lindbergh dut monter à plus de 3000 mètres, au milieu de gros nuages d'orage. Dans cette séquence, il s’agit d’aider les élèves à raisonner sur les textes, à acquérir des stratégies de lecture expertes et à savoir les utiliser.
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Un enfant en échec scolaire, de milieu social défavorisé qui rencontre dans la rue une fillette surdouée, déscolarisée mais dont la maman dépressive, autre situation connue est hospitalisée. Ce livre permet à des élèves de Cycle 3 de s’identifier au jeune narrateur qui est en difficulté scolaire. La tonicité de l’écriture et l’humour permanent sont des atouts pour élaborer une séquence tout comme les notions de vivre et apprendre ensemble qui feront le lien avec l’Enseignement Moral et Civique.
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Le travail sur document en histoire doit donc s’organiser selon un double objectif : - du point de vue de l'élève, il s’agit de comprendre : « l'histoire racontée » par le document et de aussi comprendre l'histoire du document (ce qui oblige à prendre du recul sur « l'histoire racontée » elle-même). C’est tout le travail sur l’identification (« identifier le document et savoir pourquoi il doit être identifié »). - du point de vue du professeur, il s’agit de faire comprendre et d’être sûr (donc de vérifier) que c'est compris.
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On raconte qu'il existait un homme qui dépensait tout son argent dans les tavernes et les tripots. C'était en soi une chose déjà assez laide, mais le pire était qu'il emmenait son fils avec lui.Ce texte permet de poser la question de l’implicite en s’interrogeant sur le sens des paroles ou des actions des personnages. Le lecteur doit ainsi traiter 2 types d’informations : celles que lui donne explicitement l’l’histoire et celles qu’il doit inférer du comportement et des propos des personnages. Il s’agit d’aider les élèves à prendre conscience que les textes ne disent pas tout et qu’il y a toujours à s’interroger sur le texte au-delà de ce qui est explicitement dit ou raconté.
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Une petite route touristique, en Bretagne. Un virage si aigu que l'on est vraiment obligé de ralentir, découvrant de plus un si joli panorama qu'on n'a plus tellement envie d'aller vite. L'endroit est remarquablement choisi. Au bord de la route, il y a une masure bretonne telle qu'elle doit être, pitoyable et pittoresque. Et assis sur le seuil, qui fume sa pipe au soleil, il y a un vieux Breton, ridé, barbu, comme sur les images. Enfin, devant l'ancêtre, il y a la niche et le chien. Un vilain animal. Un corniaud. Dans cette séquence, le PE devrai insister sur l’importance qu’il y a à lire le texte jusqu’au bout pour les comprendre réellement (exemple de la dernière phrase !), sur les stratégies des deux personnages.
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Cette BD détourne totalement l’histoire du chaperon rouge : Irial la petite fille est l’héroïne, le loup une malheureuse victime de l’horrible chaperon rouge… Dans cette séquence, lecture, écriture et débat. Compréhension des qualités et valeurs qui caractérisent un héros, une héroïne.
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