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Les objectifs de cette séquence sont d'écouter un texte lu, observer la langue et repérer des invariants : verbes à l’infinitif; construire une phrase syntaxiquement correcte avec un GN sujet et GV (verbe complément de phrase ou complément de verbe).
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Dans cette séquence, nous inviterons les élèves à comprendre qu’un même mot peut avoir des sens différents, produire et améliorer ses écrits.
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Cette séquence permettra d'aborder la notion de verbe, de nom et de pronom. Il s'agira pour l'élève de se repérer dans une phrase simple, identifier le verbe et son sujet, appliquer la règle de l'accord du verbe avec son sujet. Les élèves pourront participer à des échanges dans des situations de communication diversifiées.
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Cette séquence peut être motivée par la rédaction d’un écrit long, de type narratif, nécessitant des descriptions de paysages, d’évènements, de situations. On peut la motiver également par une série d’écrits courts mobilisant différentes contraintes et permettant de faire émerger des besoins en lien avec l’Etude de la langue ; des supports variés peuvent être utilisés : textes, BD, images, tableaux… Il est souhaitable que cette activité soit finalisée, lui donnant du sens.
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Le projet "Autour du visage" proposera différents ateliers aux élèves : réalisation de son portrait, du portrait d'un autre… ce sera l'occasion de travailer le lexique, le dessin, l'écrit...
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Commencer à réfléchir sur la langue et acquérir une conscience phonologique : 1 séance pour repérer un son dans un mot.
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Dans cette séquence, il s'agit d'identifier la phrase, en distinguer les principaux constituants et les hiérarchiser; utiliser la ponctuation de fin de phrase (! ?) et les signes du discours rapporté (« »).
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Dans cette séquence, plusieurs compétences sont à travailler : s’initier à l’orthographe lexicale; être capable de regrouper des mots par séries (familles de mots, mots reliés par des analogies morphologiques), construire le lexique, participer à des échanges.
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L'intérêt de cette histoire est double : d'abord, confronter les réactions des personnages dans la même situation et ensuite, continuer la lecture en sachant que la suite de l'histoire va nous être rapportée. Verte ne présente donc pas une superposition des points de vue, mais plutôt une juxtaposition de ceux-ci. En ceci, ce roman se différencie de « Une histoire à quatre voix », dans lequel la même histoire est racontée quatre fois (par chaque personnage).